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 LORENZO & SPERANZA ★ You hit me once, i hit you back

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MessageSujet: LORENZO & SPERANZA ★ You hit me once, i hit you back   LORENZO & SPERANZA ★ You hit me once, i hit you back EmptyVen 25 Mar - 17:52


LORENZO & SPERANZA ★ You hit me once, i hit you back 87392741

“ LORENZO & SPERANZA „

Deux confréries différentes ♦ une même soif de vivre ♦ une relation conflictuelle ♦ deux âmes ♦ un destin.

« Pardonnez moi mon père car j’ai pêché. »La trappe séparant les deux alcôves s’était ouverte seulement quelques secondes plus tôt, mais déjà les paroles rituelles de la confession avait franchit les lèvres de la jeune femme peu vêtue qui se trouvait de l’autre côté de la cloison en osier tressée. Il faisait nuit depuis de longues heures déjà mais la maison de Dieu ne fermait jamais. Surtout pour « ses filles » qui hantaient les rues et les soirées hip de Venise. Ce n’était pas la première fois qu’elle venait ici. Elle venait toujours en pleine nuit. Toujours courte vêtue. Toujours après son « service » comme elle disait. Elle demandait à ce qu’il l’appelle Euridice. Il se doutait que c’était le nom dont elle se servait dans sa vie nocturne. Ces confessions laissaient toujours le Père Fitzpatrick bouleversé. Elle avait fait des choses avec des hommes que la religion n’avait pas même prévue. Elle se vendait pour de l’argent, elle pervertissait son corps auprès d’hommes souvent mariés qui monnayaient ses services à prix d’or. Elle n’en éprouvait pas de honte. Pourtant, elle ressentait le besoin de venir se confesser de temps en temps. Elle n’avait jamais renié la religion. Elle pratiquait. Et c’était bien tout le paradoxe de Speranza Euridice Marocchi, fille d’un honnête homme, courtisane MAIS catholique. Elle venait confesser ses actes depuis près de cinq ans, et Dieu seul savait qu’elle en avait à dire des choses. Il se rappelait de chacune de ses visites et en gardait une trace tenace dans sa chaire. L’âme de la jeune femme était si sauvage, blessée et cynique. Elle assumait ses choix de vie, défendait sa « famille » et sa vie, elle avait tué déjà, son âme était rongée par le pêché et pourtant, il espérait pouvoir la sauver. Elle sourit à son confesseur au travers du grillage en pied de poule et réajusta sa robe sur ses courbes, elle avait déjà ôté son manteau épais, elle s’était installée confortablement pour parler. Il ferma les yeux et inspira une longue bouffée d’air, elle le troublait, elle le lisait dans ses yeux. Elle aurait voulut lui dire qu’il n’y avait aucune honte à avoir, que le désir était sa compagne depuis toujours, et qu’avant d’être homme d’église, il était avant tout un homme. Mais elle n’était pas là pour rassurer qui que se soit, on la payait pour apporter du réconfort mais ce soir, elle était là pour elle-même. Simplement.
« Je vous écoute mon enfant. » Elle repoussa la cascade de cheveux blonds qui était retombé sur son visage, dévoilant son visage aux traits fins et racés et le haut de sa poitrine. L’éclat envoutant de ses yeux émeraude captura une fois de plus l’âme du confesseur, un frison lui traversa l’échine, tentation, elle était le démon en personne, et chaque fois qu’elle venait lui rendre visite, il restait fasciné par elle pendant des heures. Il serait toujours fasciné par le magnétisme de son regard, la profondeur de son âme et la luxure que l’on captait rien qu’en plongeant dans ses yeux. Elle était dangereuse et cela se lisait dans ses iris, incarnation d’une déesse païenne du plaisir envoyée sur terre pour corrompre les âmes des fidèles chrétiens. Elle était son épreuve. Sa mission.
« Il était comme tous les autres, nu et vulnérable. Si libidineux et violent…. Si vous saviez ce que je lui ai fais mon père… Mais il le voulait, ils le veulent tous, ils en on tous besoin. Me posséder est la seule chose qui les importe, et je les laisse faire parce que s’ils chevauchent mon corps, ils n’ont en rien mon cœur ou mon âme.» Un sourire triste flotta sur ses lèvres alors que les images de sa nuit se déroulaient devant ses yeux. Elle savait que le lendemain ses cuisses seraient meurtries par les bleus, déjà elle sentait les muscles douloureux de ses jambes protestées alors qu’elle croisait ses longues jambes devant elle. Sa lèvre que l’homme avait mordue et tétée la taraudait. Il arrivait que les clients soient violents, et elle s’en moquait, du moment qu’ils y mettaient le prix. « Il a cru que j’étais une pute. Je ne suis pas une pute. Je suis bien plus que cela. » Elle sourit. « Je suis une actrice. Je leur offre ce qu’ils veulent, de l’émotion, des cris, des soupirs… Mais je n’éprouve rien… » Elle tapota sa généreuse poitrine du bout d’un ongle manucuré. « Là je ne ressent rien… » Sa main glissa le long de sa cuisse, effleurant son entrejambe meurtrit par une « séance » plus violente que prévue. « Là par contre … Je prends du plaisir, à chaque fois. C’est mon travail de leur faire croire que je les aime autant qu’ils l’espèrent. De créer un lien… Mais je ne ressens rien… C’est ce vide qui m’effraie … »

(…)

Il était tard, les femmes bien élevées ne se trouvaient plus dans les rues depuis plusieurs heures déjà mais, Speranza ne faisait pas partie de ces femmes que la timidité et les convenances étouffent. Loin de là, très loin de là. La nuit précédente avait été mouvementée, à tel point qu’elle avait ressentit le besoin de se confesser au beau milieu de la nuit. Lorsqu’elle avait émergé quelques heures après s’être écroulé en travers de son lit, sans même avoir prit le temps de se déshabiller, son corps la rappelait douloureusement aux évènements de la nuit précédente. Ses muscles étaient raidis par les contusions, ses bras et ses cuisses bleuis par endroit, là où l’homme l’avait saisit pour la besogner avec force. La trace de ses doigts serait imprimée dans sa chaire durant encore quelques jours. Elle avait passé une longue heure sous la douche, cherchant à se débarrasser de ses courbatures et de la tenace sensation d’être souillée. Son estomac avait manqué de se révulser lorsque, entièrement nue, elle avait examiné son reflet dans son intégralité campée devant son miroir à pieds. L’intérieur de ses cuisses, ses biceps, ses hanches avaient pris une teinte violacée de mauvais augure. La douleur qui ne s’était pas fait sentir durant ces ébats forcée affluait à chaque mouvement. Etre prise par la force n’était pas une nouveauté, de nombreux clients satisfaisaient avec elle leurs fantasme violents, des fantasmes qu’ils ne pouvaient décemment pas assouvir avec leur femme ou la mère de leurs enfants. Elle ne comptait plus le nombre de fois où elle avait été attachée, soumise, où elle avait simulé un viol, où elle s’était déguisée. Ni celles où elle avait attaché, soumis, fouetté, humilié, ou prêtée chaussures et dessous à des hommes influents. Le sexe sous de nombreuses formes n’avait plus de secrets pour elle. Cependant, elle ne se ferrait jamais à la découverte de son corps meurtri au petit jour. Sa peau laiteuse contrastait avec les teintes pourpres de ses hématomes, marques indélébiles que seul le temps effacerait. Elle avait mit du temps à enfiler ses sous vêtements et avait lâché de multiples jurons lorsqu’elle avait fixée ses bas à son porte-jarretelles. Après avoir sélectionnée la robe la plus couvrante qu’elle possédait, Speranza avait entreprit de masquer aux yeux de tous les marques qu’un client avait laissé sur sa peau. « Madame » lui avait apprit tout ce qu’elle savait sur l’art du camouflage, elle mélangeait habilement fard et fond de teint pour dissimuler tout ce qu’elle souhaitait, une large palette allant du gommage d’un grain de beauté jusqu’aux vergetures en passant par les hématomes. Camoufler les coupures et les bleus aux coins de ses lèvre avait demandé un travail minutieux pourtant le résultat était saisissant, il ne restait plus aucune trace des passages d’un autre sur son corps, sa peau avait retrouvée sa blancheur de marbre et son visage, son insolente beauté. Les décontractants qu’elle avait avalés avant de quitter la « maison » avaient repoussé la douleur aux frontières de son esprit. Elle avait accepté une « mission » d’escorte pour quelques heures, une sortie paisible qui lui permettrait de récupérer tout en gagnant de quoi finir le mois.

Ainsi dérivait ses pensées, elle était accoudée à un balcon de l’Ambassade de France de Venise et contemplait le magnifique jardin à la française qui s’étendait jusqu’au Canal. La soirée ne tarderait pas à s’achever, elle rit doucement à la plaisanterie de son client, sa perruque rousse, choisie pour l’occasion afin de masquer les bleus sur sa nuque, effleurait ses épaules nues à chaque mouvement de sa tête. Son esprit bercé par la musique elle laissait voguer ses pensées en prêtant une oreille attentive à la conversation qui roulait entre son « mari » et leurs hôtes. La nuit était délicieuse, elle était l’épouse d’un homme d’affaire de passage, elle s’appelait Eleanor LaRue, pour quelques heures elle était une jeune française encore sur la planète « lune de miel », une splendide rousse aux yeux verts qui accompagnait son mari dans ses voyages d’affaires. Spirituelle, intelligente et naïve, c’était ainsi que son « mari » l’avait décrite avant qu’ils ne fassent leur entrée dans l’Ambassade. Un rôle candide bien loin de sa véritable personnalité mais un rôle à sa portée. La main de son « mari » se posa dans le creux de ses reines, elle ne broncha pas et lui rendit son baiser. Un couple charmant pensèrent les quelques invités encore présent sur le balcon, si bien assortit. Ils discutaient de tout et de rien, d’art ou de politique, avec de tels accents de sincérités que l’un comme l’autre aurait pu croire que ce n’était pas qu’un simulacre de pièce de théâtre, ils auraient pu croire qu’il y avait une alchimie naturelle entre eu. Ils auraient pu y croire s’ils n’avaient pas su, l’un comme l’autre, que tout avait un prix, y comprit une conversation agréable avec une femme sublime. Il remplissait son verre de champagne régulièrement, de temps à autre Speranza s’arrangeait pour vider sa coupe, aussi souvent que possible, dans un pot de fleurs mais, elle avait déjà consommée bien assez d’alcool pour que le sol s’agite sous ses talons hauts. Elle se sentait nauséeuse mais affichait la mine confiante d’Eleanor malgré les assauts de son estomac. Bientôt, elle serait de retour de chez elle, et prendrait quelques jours de repos, tant pis pour Lorenzo, son sauveur se passerait de ses informations quelques temps, ainsi que de ses relations. Peut être quitterait-elle Venise un temps, pour voir un autre paysage, les quelques économies qu’elle ne dilapidait pas en vêtements et loyer lui suffiraient pour prendre du repos dans une station balnéaire Suisse ou Alpine. Oui, c’était une excellente idée. Perdue dans ses pensées, elle ne s’était pas aperçue que le balcon s’était vidé de ces badauds. Ils étaient désormais seuls. La lame coulissa silencieusement hors du fourreau, l’esprit embrumé par l’alcool et le léger décontractant musculaire qu’il avait glissé dans sa dernière coupe, elle ne vit pas venir. Lorsqu’il l’attrapa par la taille, elle se nicha contre lui en bonne épouse qu’elle était, jouant son rôle. Elle eut le souffle coupé lorsque la lame se plaqua sur sa gorge délicate d’une blancheur de marmoréenne. Cela avait été bien trop facile, pensa t-il, lui un templier nouvellement intronisé avait prise de court une courtisane qui avait trahit sa neutralité avec une facilité déconcertante qui ternie son plaisir. Les jambes de la Courtisane se dérobèrent sous elle, synchronisation parfaite. Elle ne s’était pas méfiée. Finalement, ce que lui soufflait son instinct était peut-être infondé. Il avait pourtant vu la jeune femme sauver la vie d’un assassin, elle devait forcément être la maitresse de l’un d’eux et savoir comment contacter ses « amis ». Mais, peut être n’était-elle qu’un pion de plus dans le confit qui opposait assassin et templier ? il la ferrait parler pour en avoir le cœur net. Les courtisanes étaient prêtes à tout contre monnaie sonnante et trébuchante et si elle refusait … il avait les moyens de la faire parler. User de la violence envers une femme n’était pas dans ses habitudes mais, il désirait prendre du galon au sein de son clan. C’était la solution. Rangeant sa dague dans l’étui fixé à sa cheville, il la fit asseoir sur le bord de la rambarde après l’avoir délesté de la dague fixée entre ses seins et de son éventail. Elle se tenait à présent en équilibre précaire, incapable de réagir tant son corps semblait peser une tonne, sa vie était désormais entre les mains de cet homme.

« Qui êtes vous ? » Articula t-elle difficilement, la bouche pâteuse, il avait mit quelque chose dans son verre, la drogue alourdissait ses mouvements, anesthésiait son esprit. Deux phénomènes qu’elle avait d’abord attribués aux antidouleurs qu’elle avait ingéré avant de quitter « la maison ». Elle savait que la drogue serait rapidement métaboliser par son organisme, elle n’avait jamais été très réceptive aux drogues et autres décontractant, tout n’était question que de longues minutes. Il l’avait suffisamment drogué pour pouvoir prendre le contrôle de la situation. Vu des jardins ils auraient l’air d’un couple en train de roucouler, rien de plus. Il avait pensé à tout. Elle s’était laissée abuser par ses manières et son allure, alors qu’elle se sentait particulièrement vulnérable elle avait baissé sa garde. Elle n’avait pas été étonnée qu’on la demande elle particulièrement pour escorter un « puissant » ce soir. Sa réputation la précédait dans de nombreux cercles de la ville et son nom était souvent évoqué pour sa discrétion et son efficacité ainsi que pour sa beauté et sa capacité à se fondre dans le décor. Elle aurait dû se méfier. Elle avait été naïve et négligente, et à présent sa vie ne dépendait plus d’elle mais du bon vouloir de cet homme qui avait loué ses services.
« Une vieille connaissance de ton amant. Lui et moi avons des comptes à régler, un cinq à sept avorté grâce à ta petite intervention. Dit moi où il se cache et je te laisserais repartir tranquillement, je tacherais même d’oublier que tu as rompu la trêve entre nos confréries et prit partie dans un conflit où tu n’as pas ta place. » Murmura t-il à son oreille en déplaçant son centre de gravité par l’arrière pour qu’elle comprenne qu’il n’hésiterait pas à lui faire du mal si elle s’avisait de lui mentir.
« Mon amant ? Quel amant ? » Sa voix n’était qu’un murmure pourtant une lueur de défit brillait dans ses yeux. L’adrénaline pulsait dans ses veines, il faudrait un certain temps pour que la terreur soit suffisante pour chasser l’effet de la drogue et rétablir les réactions de son systèmes nerveux. « J’ai accueillit beaucoup de beau monde dans mon lit ces dernières années, pourriez vous être plus précis ? » La gifle ne la surprit pas, sa lèvre éclata à nouveau et des étoiles dansèrent devant ses yeux. L’expression vois trente six chandelles prenait tout son sens à présent.
« Ne te moques pas de moi, je t’ai vu avec ce petit freluquet dans cette ruelle et au marché… Tu n’es pas neutre dans ce conflit. Tu sais quelque où ils sont … Et tu me le diras si tu tiens à ta vie… » Elle tenait à sa vie bien entendu mais elle avait aussi des principes, de trop nombreux principes. Elle avait une dette envers Lorenzo, une dette qu’elle n’aurait pas finit de payer avant d’avoir sauvé la vie de son Zorro moderne. Réunissant le peu de salive qui lui restait, elle mobilisa toute sa volonté pour cracher au visage de son ravisseur. Il la lâcha un instant, une fraction de seconde. Une fraction de seconde qui fit basculer l’horizon des évènements, qui changea sa vie. Elle n’avait pas assez de force pour rétablir son centre d’équilibre et inexorablement, elle se sentit basculer vers le vide. Avec une lenteur démesurée elle assista à sa chute. Son buste ploya vers le vide qui s’étendait sous le balcon, sa perruque se détacha de son crâne et sa superbe chevelure blonde se déploya autour de son visage tel un halo dorée. Son corps, entrainé par la gravité était appelé plus bas, elle s’imaginait déjà gisant sur le parvis de la terrasse entourant l’ambassade, poupée de chiffon à laquelle on aurait coupé les files. Elle vit les yeux de son agresseur s’agrandir de surprise. Elle sourit intérieurement en pensant que cette fois, elle emporterait ses secrets dans sa tombe, Lorenzo aurait sa mort sur la conscience cela lui apprendrait à la prendre pour… Un poignet attrapa le sien au vol. L’onde de choc remonta le long de son bras, atteignant son épaule endolorie, lui tirant un gémissement de douleur. Les doigts de l’homme se surimprimèrent sur ceux déjà gravés dans sa chaire. Il la tira sans ménagement vers lui, elle s’effondra sur le sol de marbre de la terrasse. « Salope ! » Le premier coup de pied l’atteignit au ventre. Elle étouffa une plainte de douleur alors que son estomac cognait contre son diaphragme. Contrairement au mythe populaire, pour encaisser un coup il ne faut surtout pas se contracter mais se laisser aller, accompagner le mouvement, devenir aussi moue que possible. Son corps se rebella face à ce nouvel assaut, gémissant à grand cris. Ses plaintes furent étouffer par la musique en contrebat. Le maquillage sur ses bras s’était effacé, les bleus se dévoilaient à la lueur de la lune. Elle pensait passer une soirée tranquile… Elle comptait se reposer. Elle avait fait une erreur dont elle payait à présent le prix.
« Dit moi où ils se cachent ! Dis le moi ! » Cria t-il en se plantant au dessus d’elle, la retournant de la pointe d’une chaussure ciré. Dire qu’elle avait trouvé la compagnie de cet homme plaisante … l’alcool faussait de toute évidence le jugement. « Tu vas parler … Tu ne mourrais pas pour une cause qui n’est pas la tienne. »
« Va plutôt user ta salive en enfer ! » Gronda t-elle en essayant de se relever mais, elle était encore paralysé par le sédatif. Ses muscles répondaient difficilement. Elle était à sa merci, elle ne voulait pas lui montrer qu’elle avait peur … elle mourrait fière comme elle était née. Comme son père était mort. Personne ne l’entendrait crier. Ils étaient seuls.

S. Euridice Marocchi
S. Euridice Marocchi
ROSA
✙ MESSAGES : 17

I.D.
Nom: S. Euridice Marocchi
Clan: Courtisane

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